Avocat en droit
de la famille à Metz
Mes compétences aux services de vos affaires !
Toujours à l’écoute, je ne néglige aucun dossier et prends soins de toujours informer au mieux mes clients du suivi de leurs affaires.
Le droit de la famille est une branche du droit civil qui régit et organise les relations juridiques entre les différents membres d’une même famille. Le droit de la famille définit essentiellement deux types de liens familiaux : les liens d’alliance (couples) et les liens de parenté (ascendants et descendants).
Divorce et séparation
Garde d'enfant et droit de visite
Pension
alimentaire
Adoption
d'enfant
Vous prévoyez de demander un divorce, un droit de visite ou une garde d’enfant, une pension alimentaire ou envisagez une adoption ? Maître Laura CASSARO vous conseille sur les démarches à entreprendre. En effet, de nombreux paramètres sont à prendre en compte en matière de divorce, garde d’enfant, pension alimentaire ou encore droit de visite.
Divorce
Que vous soyez pacsés, concubins ou mariés, Maître Laura CASSARO, Avocat à Metz, pourra vous accompagner au cours de la phase de rupture, qu’elle soit amiable ou contentieuse.
Il conviendra en effet d’organiser le quotidien de l’après séparation, le vôtre, celui de vos enfants.
Si vous êtes mariés, quatre formes de divorce s’offrent à vous :
Le divorce amiable ou divorce par consentement mutuel
Cette procédure amiable suppose que le couple s’accorde non seulement sur le principe même du divorce, mais aussi sur l’ensemble de ses effets (résidence des enfants, droit de visite et d’hébergement, montant de la pension alimentaire, partage des biens et du patrimoine…).
Depuis le 1er janvier 2017, les époux souhaitant divorcer par consentement mutuel n’ont plus besoin de passer devant le Juge aux Affaires Familiales, sauf exceptions.
Le divorce pour acceptation du principe de la rupture du mariage
Le divorce « accepté » signifie que les époux s’accordent sur le principe du divorce sans considération des faits à l’origine de la rupture (article 233 du Code Civil).
Cette procédure de divorce concerne les époux qui sont d’accord pour divorcer mais qui ne parviennent pas à s’entendre sur les conséquences du divorce (par exemple sur la résidence des enfants, ou sur le montant des pensions alimentaires, ou sur la prise en charge des crédits ou prêts, ou sur le partage des biens du couple).
Le divorce sera prononcé sans considération des faits à l’origine de la rupture du mariage, le juge ne connaîtra jamais les raisons de la rupture du lien matrimonial.
Le divorce pour faute
Le divorce pour faute est défini par l’article 242 du code civil comme étant celui qui « peut être demandé par l’un des époux lorsque des faits constitutifs d’une violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage sont imputables à son conjoint et rendent intolérable le maintien de la vie commune.
Les principaux points constituant potentiellement des fautes suffisamment lourdes pour motiver un divorce pour faute sont les suivants : l’infidélité, l’abandon du domicile conjugal, les violences physiques, les dégradations matérielles, les injures, les dénigrements, l’abandon moral ou matériel, ou encore le défaut d’affection.
Le divorce pour altération définitive du lien conjugal
Le divorce pour altération définitive du lien conjugal peut être engagé lorsque les époux vivent déjà séparément depuis au moins un an. On parle alors de « cessation volontaire de la communauté de vie entre les époux ».
Le mariage engage les deux époux à une communauté de vie. Le fait de quitter le domicile conjugal vient donc altérer ce devoir. Voilà pourquoi il est possible de demander le divorce pour altération définitive du lien conjugal, procédure réglementée par les articles 237 et 238 du code civil.
Séparation
Si vous ne souhaitez pas divorcer, une autre possibilité s’offre à vous :
Cette procédure permet aux époux qui veulent se séparer sans que le lien conjugal soit définitivement rompu, ils doivent engager une procédure de séparation de corps auprès du Tribunal de Grande Instance de leur lieu de résidence.
Une fois la séparation de corps prononcée par jugement, les époux sont autorisés officiellement à vivre séparément sans pour autant être divorcés, le mariage n’étant pas dissous.
La demande de séparation de corps peut être déposée par l’un des deux conjoints, ou par les deux, devant le Juge aux Affaires Familiales.
d’une séparation par consentement mutuel,
d’une séparation sur demande acceptée,
d’une séparation pour faute,
d’une séparation pour rupture de la vie commune (suite à une séparation de deux ans).
Le recours à un avocat est obligatoire.
Que vous soyez pacsés, concubins ou mariés, Maître Laura CASSARO, Avocat à Metz, pourra vous accompagner au cours de la phase de rupture, qu’elle soit amiable ou contentieuse.
Il conviendra en effet d’organiser le quotidien de l’après séparation, le vôtre, celui de vos enfants.
Si vous êtes mariés, quatre formes de divorce s’offrent à vous :
Il existe 2 types de gardes :
La résidence de l’enfant est fixée chez les deux parents selon des modalités fixées par les parents et le juge aux affaires familiales qui prend en compte l’intérêt de l’enfant
L’enfant détient une résidence principale chez l’un de ses parents. Le parent qui ne détient pas la garde exclusive dispose d’un droit de visite et d’hébergement dont les modalités (pendant les week-ends, pendant les vacances scolaires) sont fixées par les parents ou par le juge des affaires familiales.
Si les deux parents ne trouvent pas un terrain d’entente quant à la résidence de leur enfant, il est nécessaire de saisir le Juge aux Affaires Familiales, qui tranchera sur le sujet en fonction de la situation personnelle de l’enfant.
Dans un tel cas, il est possible, bien entendu, de solliciter l’aménagement du droit de visite.
Dans les cas les plus extrêmes il pourra être suspendu ou supprimé et l’exercice de l’autorité parentale confié à un seul des deux parents.
Rappelons que les grands-parents qui ne peuvent pas voir normalement leurs petits-enfants disposent de droits et d’une action pour les faire respecter.
Dans certains cas des tiers (par exemple beau-père ou belle-mère) peuvent bénéficier des mêmes droits et action.
Vous souhaitez une pension alimentaire pour votre enfant ?
La pension alimentaire est versée par le parent du fait de sa contribution à l’entretien et à l’éducation de l’enfant, aussi bien lors d’un divorce, que lorsque les parents se séparent et ne sont pas mariés.
En principe, en cas de résidence alternée de l’enfant, aucune pension n’est versée, sauf s’il existe une disparité entre les revenus des parents.
En cas de résidence alternée, les parents se partagent le quotient familial ce qui a pour conséquence que la pension versée n’est pas déductible.
La pension alimentaire est fixée en fonction des ressources des parents et des besoins de l’enfant. Il est donc indispensable d’établir un état des lieux de votre situation mettant en regard vos ressources et vos charges. Maître CASSARO vous indiquera une liste de pièces à fournir pour pouvoir justifier du montant de la pension demandée ou, au contraire, le contester si vous êtes en défense.
En France, il existe deux types d’adoption : l’adoption simple et l’adoption plénière.
Qui peut demander l’adoption ?
Toute personne de plus de 28 ans peut demander l’adoption qu’elle vive seule ou en couple, qu’elle soit mariée ou non. Pour les couples mariés, les époux doivent être non séparés de corps, mariés depuis plus de deux ans ou âgés l’un et l’autre de plus de 28 ans.
Depuis la réforme du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, l’adoption est ouverte aux couples homosexuels.
L‘adoption simple est possible quel que soit l’âge de l’adopté mais chaque adoptant doit avoir au moins 15 années d’écart avec l’adopté. Il est nécessaire de recueillir le consentement de toutes les personnes intéressées, puis de présenter une requête en adoption devant le Tribunal de Grande Instance, qui rend un jugement dans les mêmes conditions.
Les adoptants doivent être mariés depuis au moins 2 ans, ou être tous deux âgés de plus de 28 ans, mais ne doivent pas être séparés.
Si un seul de conjoint demande l’adoption, il doit avoir l’accord de l’autre et être âgé de plus de 28 ans. Cette condition d’âge n’est pas requise pour l’adoption de l’enfant de son conjoint.
Quelle est la procédure à suivre ?
Après le placement de l’enfant à votre domicile, vous pouvez déposer une requête devant le Tribunal de Grande Instance afin d’établir la filiation adoptive.
Le recours à un avocat est obligatoire, sauf si la personne dont l’adoption est demandée a été recueillie au foyer du requérant avant l’âge de 15 ans.
En cas de refus du juge de prononcer l’adoption, vous pouvez formuler un recours devant la cour d’appel dans un délai de 15 jours.
L’adoption plénière peut être demandée par deux époux mariés depuis plus de deux ans, ou âgés tous deux de plus de 28 ans. Elle peut également être demandée à titre individuel par une personne âgée de plus de 28 ans (sauf s’il s’agit d’adopter l’enfant du conjoint, auquel cas la condition d’âge n’est pas requise).
Si cette personne est mariée, le consentement de son conjoint est nécessaire. Le ou les adoptants doivent en outre avoir au moins 15 ans de plus que l’enfant adopté, à moins qu’il ne s’agisse de l’enfant du conjoint. Dans cette hypothèse, la différence d’âge requise est réduite à 10 ans. Le Tribunal peut cependant toujours autoriser l’adoption en cas de « justes motifs ».
L’adoption plénière n’est possible que pour les enfants âgés de moins de 15 ans mais la demande peut être faite jusqu’à ses 20 ans si les adoptants l’ont recueilli avant ses 15 ans et qu’ils ne remplissaient pas les conditions fixées par la loi pour l’adopter à ce moment-là, ou ont mis en œuvre une adoption simple.
Si l’enfant a plus de treize ans, il doit consentir personnellement à son adoption plénière
Quelle est la procédure à suivre ?
Vous devez au préalable disposer d’un agrément. Une fois cet agrément obtenu, vous pourrez déposer une requête devant le Tribunal de Grande Instance pour que le Juge examine votre demande d’adoption.
C’est après avoir reçu l’enfant au placement chez vous pendant au moins 6 mois, que votre requête en adoption plénière sera examinée par le Juge.
Le recours à un avocat est obligatoire, sauf si l’adopté a été placé dans votre foyer avant 15 ans. En cas de refus de prononcer l’adoption, vous pouvez former un recours devant la cour d’appel dans un délai de 15 jours